La loi du 14 décembre 2000, n° 379, prévoit la reconnaissance de la citoyenneté italienne en faveur des personnes nées et résidant dans les territoires de l’ancien Empire austro-hongrois et de leurs descendants qui possèdent les conditions requises.
Le délai pour la mise en œuvre de la loi 379/2000 a expiré le 19/12/2010.
La loi du 8 mars 2006, n° 124, prévoit la reconnaissance de la citoyenneté italienne en faveur des compatriotes qui l’ont perdue pour avoir résidé de 1940 à 1947 en Istrie, Fiume et Dalmatie.
La reconnaissance de la citoyenneté italienne en vertu de lois spéciales constitue une acquisition par bénéfice de loi : il n’est donc pas possible, pour le parent citoyen, de faire la déclaration de volonté d’acquisition de la citoyenneté en faveur de l’enfant mineur prévue à l’article 4, alinéa 1-bis, de la loi n° 91/1992, puisque le parent reconnu n’est pas un citoyen italien de naissance.